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Comptes rendus - Archives

Archives 05/2018

VTT Evasion dimanche 27 mai - par Evasion VTT

D‌imanche 27 Mai



                                Veni-vidi- vici

​Bonne chambrée encore aujourd'hui avec 10 participants au départ. Approche traditionnelle vers le sud via bois de Labarthe, Barbazan et côte de La Serre à Allier, retour dans la plaine à Bernac-Dessus et cheminement tranquille jusqu’à Vielle-Adour. A la sortie du village nous empruntons la rue du Bousquet qui au prix d'un effort intense nous verra finir par un chemin empierré sur la route des crêtes au dessus de Montgaillard. Encore un gros effort par le Soum du Buala sensé nous ramener de nouveau sur les crêtes. Ah, Jack! si tu avais vu papy en plein effort parmi ses fleurs de printemps: jacinthes, myosotis et autres narcisses qui lui caressaient les jambes, c'était vraiment "Gehant". Après le retour par Ordizan, c'est de nouveau un long cheminement dans la plaine, nécessaire pour atteindre à Pouzac un chemin nommé "parcours de santé". Ne pas se fier à cette dénomination. En fait, c'est le chemin du camp de César, une vraie galère. Par Toutatis, l’ascension fut rude, les derniers arrivants à une portée de jet d'une ballista on se regroupe pour envisager le retour. A partir de Montgaillard, "la machine"aidée par 2 ou 3 cheminots réquisitionnés met la pression et le train ne ralentira pas, à la vue de la vieille voie ferrée,"la machine" toutes bielles dehors en remettra une couche et c'est après 53 km et 700m de dénivelé que pistons décrassés et soupapes ouvertes on pourra enfin souffler.

                                               SM

Publié le 30/05/2018 @ 21:42  Prévisualiser  Imprimer l'article

Parfum de Crêtes de Cacacharel - par G.H.

PARFUM DE CRÊTE DE CACACHAREL*

 

        Un soleil radieux en ce jour de Pentecôte nous voyait partir tous les six vers le pic de La Peyre, sommet bien souvent visité par S-E. Et pourtant, nous y retournons toujours avec plaisir tant sa grimpette est facile et agréable.

         Je marchais donc à mon pas habituel en arrière du groupe lorsque j’entendais soudain des rires, des exclamations dont j’ignorais la cause.

    Arrivé à mon tour sur les lieux quelques minutes après, je constatais, plutôt mon nez découvrait la cause de tant de rires. Un parfum que je n’oserais pas qualifier de délicat, flottait dans l’air, effaçant la suave senteur des sapins alentours.

     Figurez-vous qu’un (ou une, je tairai le sexe) des participants à cette balade avait eu l’idée saugrenue de manger de la choucroute la veille, trop de choucroute. Les intestins délicats de ladite personne, torturés par la fermentation du chou exprimaient leurs colères sous forme de flatulences généreuses et variées. A-t-on idée de manger un tel mets la veille d’une sortie en montagne ! Seul à l’arrière, pour arriver au sommet, il me suffisait donc  de suivre, non pas les cairns, mais les miasmes choucroutaires du groupe devant moi.

La vaste crête, magnifique nous amenait rapidement au cairn de La Peyre, trop rapidement car  il n’était que onze heures à la pendule. Paysages splendides, tant sur la montagne que sur la plaine merveilleusement limpide que nous savourons un long moment.

     Bien plus bas, minuscule, la cabane du Coumets attirait le regard de Pascale. Ce que femme veut….Rapidement, nous entamions la raide descente vers cette bâtisse, au milieu des rodos et de quelques névés faciles. Au passage, nous grimpions sur les flancs couverts de jonquilles de la bosse du Coumets, idée proposée par Fanfan, décidemment infatigable. Sur le sommet, déjà son regard se portait sur la ligne de crête du Montaigu. Stop lui a-t-on dit, sans discussion possible. D’autant que de gros nuages sombres et menaçants ourlaient les dites crêtes.

      A la cabane, les premières gouttes de pluie s’annonçaient, peu fournies d’abord, puis généreuses ensuite. Nous bénissions dès lors l’idée de Pascale qui nous permettait de manger à l’abri et avec le confort d’une grande table en ardoise. La personne torturée par la maudite choucroute devait quitter les lieux de temps en temps car aucun miasme morbide ne vint troubler la douce odeur de notre  Ricard habituel. Une brouette bienvenue ainsi qu’une planchette en bois offraient à  Pascale une merveilleuse couche pour sa sieste au soleil revenu.

       Un large et confortable sentier nous ramenait aux voitures, les voitures à Bagnères et nos jambes pas trop fourbues  au Florian. La choucroute semblait définitivement digérée. Belle journée chargée de bonne humeur, d’amitié, de panoramas splendides et de parfums subtils. Merci Cacacharel

 

*Cacacharel, je ne suis pas l’auteur de ce jeu de mot.  Rendons à César…

                                                                                      G. H.

Publié le 23/05/2018 @ 18:22  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT Evasion dimanche 20 mai - par Evasion VTT

Dimanche 20 mai

 

 

                                      L'aigle de Tolède,
 

Les premières douceurs printanières font grossir sensiblement notre groupe de dimanche en dimanche. Aujourd'hui avec la première participation de Romain nous sommes 12 à nous diriger par les bords de l'Adour vers Laloubère puis Odos. A Bellevue nous franchissons les toboggans jusqu'à la passerelle de fer et les premières maisons de Louey, en longeant le camping "La Bergerie" nous approchons de Toulicou mais nous sommes un instant bloqués par une barrière grillagée: deux ou trois fins limiers ‌du groupe arrivent à contourner l'obstacle avec beaucoup d'ingéniosité, très fiers d'eux ils arrivent devant une deuxième barrière située au pied de la sapinière, ils réfléchissent, se concertent, trouvent un plan B avant de s’apercevoir que la barrière n'était pas fermée à clé. Les défonceurs de portes ouvertes sont dépités au pied de la rude montée bien entretenue qui nous verra redescendre vers le Mardaing par des pistes larges et ombragées. Sortie d'Ossun, en direction de Pontacq nous tournons à droite à la chapelle st Joseph pour prendre une mono-trace à flanc de côteaux. Les premiers à s'engager constatent que le tracé n'est pas sans risque, la confirmation viendra de l'arrière: Mario avec son physique à la Bahamontès avertit ceux qui le suivent d'un danger imminent. Il pense si fort qu'il va tomber, qu'il le dit, l'homme n'est pas comme certains du gouvernement, ce qu'il dit il le fait et ses suiveurs assistent au vol de l'aigle de Tolède : saut périlleux avant rattrapé en douceur sur l'épaule, il n'en perd pas son sourire. Tous les autres arriveront en bas en petite vitesse non pas qu'ils aient peur mais il est très difficile de piloter un vélo lorsque l'on est plié de rire. Musardant dans les rues d'Azereix, on ne peut éviter le détour par le beau lavoir si bien restauré, c'est par le chemin de Grave-Bédade que l'on atteindra les faubourgs de Tarbes, chemin désormais en partie obstrué par les débordements de certains riverains peux soucieux de civilité. Le compteur affiche 50 kms il fait beau temps, l'illustre grimpeur a un pneu crevé, nous rasons les murs dans les rues de la ville.
 

                                                     SM

 

Publié le 21/05/2018 @ 16:03  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT Evasion dimanche 13 mai - par Evasion VTT

Dimanche 13 mai

 

Du nouveau,

Il est arrivé le huitième‌ sur le lieu de rendez-vous, s'est présenté: Mathieu, un gabarit de coursier belge ou hollandais. Rapidement nous mesurons les années qui nous séparent et les centimètres que nous avons en plus en tour de taille. Nous choisissons pourtant un parcours assez exigeant, ce sera Les Puyolles. Nous sommes assez surpris de constater le bon état des pistes malgré les averses de la veille, à partir de Bastoura, le petit nouveau sur son vélo équipé descente démontre de réelles aptitudes à grimper. Au carrefour de l'arbre un traditionnel arrêt nous permet d'admirer le petit coup de pinceau blanc printanier qui orne les contreforts de nos montagnes. Dans l'air vivifiant nous contournons la sapinière et descente par le chemin des Cassoulets jusqu'à Montgaillard. Le retour est engagé par la plaine, Mathieu est ravi pour cette première sortie il sera toutefois surpris par le long sprint un peu sournois déclenché le long de la voie ferrée par quelques vieux grognards refusant d'abdiquer.

                                     SM

Publié le 14/05/2018 @ 18:11  Prévisualiser  Imprimer l'article

Marche et VTT Leon 2018 - par Evasion Marche et VTT

Dans les Landes : Venise

 

« Venise n’est pas en Italie, ….

C’est où tu vas, c’est où tu veux,

C’est l’endroit où tu es heureux ».

 

Les vingt et un bigourdans, et particulièrement les seize marcheuses et marcheurs, confirment cette ballade interprétée par Serge Reggiani après deux jours passés autour du lac de Léon – pas à Bayonne, mais dans les Landes ! -.

Le ciel landais nous accueillit d’une belle façon. Les nuages s’effacèrent, le soleil irisa le lac. Il n’y a pas meilleure invitation à la balade-navigation et découverte de la Réserve naturelle d’Huchet. Quelques quinze intrépides, femmes et hommes, embarquèrent – certains le pied moins marin que d’autres - sur de sympathiques et frêles esquifs. Et l’aventure commença sous l’autorité de commandants de bord (le souvenir du Titanic parcourait quelques imaginations !), des hommes du cru qui avaient raccroché les crampons pour se faire bateliers, à la faconde autant intarissable qu’inexpugnable.

Nous naviguâmes quelques dizaines de minutes sur une partie des 340 hectares du lac découvrant, en bordure les postes de chasse, dans les marais et les tourbières les nénuphars à la floraison naissante, les cygnes jouant à cache-cache dans les massifs d’iris jaunes, les osmondes royales, variété de fougères pouvant atteindre 1,5 mètre de hauteur, les aulnes, les saules dont le bois servait à la fabrication des sabots. Au loin, des cols verts dont certains jouaient à l’hydravion et d’autres paressaient sur les flots, indifférents, parce qu’hors de portée, des inoffensifs croisiéristes.

L’aventure commença vraiment lorsque nous entrâmes dans le courant d’Huchet. Le saut de la passe de la Nasse fit de nous, jusqu’alors simples excursionnistes, des.…..explorateurs ! D’autres, bien plus illustres, avaient tenté l’aventure, et réussi, certainement gratifiés d’un bon plat d’anguilles à la persillade. Le risque de naufrage était donc réduit, quoique sans conséquence sur les destinées du pays, mais non éliminé, la suite le confirma. L’expérience et l’adresse de nos guides, dont quelques facéties firent parfois monter l’adrénaline dans nos corps passifs, nous mena à travers les branchages et la voûte des arbres au débarcadère naturel « l’Ile aux chênes ». Et là, le péril guettait… Est-ce l’effet de la marée, une barque se déroba sous les pieds d’un de nos amis, grand gaillard au demeurant, qui, l’espace de quelques secondes, se mua en homme-amphibie. Les gestes de réconfort n’étouffèrent pas pour autant les gloussements de ses marinières… L’aventure prit un tour plus paisible, malgré quelques souches sournoises en embuscade, et conduisit notre équipe, rejointe par une amie hydrophobe, à l’embouchure de l’exutoire (1) océanique du lac de Léon où le sable de la plage de Moliets prépara nos mollets pour le lendemain.

Cette après-midi de mise en jambes, tant pour les marcheurs que pour les vttistes, fut une excellente préparation à la grande journée léonnaise de marche, trail et vtt. Reconnaissons-le, la durée de l’échauffement fut en rapport avec le nombre de nos printemps… Mais, le bon esprit, un tantinet taquin, le compagnonnage du vert des pins et de l’azur qui font le charme de la nature landaise, – outre, bien sûr les autres atours et atouts de ce pays cher au cœur de la tribu des Monts Bets – fit oublier courbatures et lombalgies. Ainsi, le Séméac-Evasion club prit une place honorable et respectable parmi le nombre impressionnant de participants.

Nous ne monterons pas les marches du festival de Cannes 2018, mais avec un tel scénario et de bons cameramen, l’édition 2019 ne nous est pas interdite. Nous avons déjà d’excellents acteurs et dans tous les genres, reste à solliciter le producteur.

 

De notre envoyé spécial sorti, à titre exceptionnel, des grottes ariégeoises.

BB

  1. Huchet vient du gascon « uischet » qui signifie « exutoire »

 

 

 

 

Samedi 5 et dimanche 6 mai, Léon.

 

 

Samedi

​Aux environs de midi sur les bords du lac de Léon, nous étions 21 bien décidés à profiter du soleil landais, 21 oui mais il n'y avait que 5 vélos, les autres optant pour une digestion lente embarqués au fil du courant d'Huchet. La balade vélo est prévue en mode détente, jamais très loin de la côte. Blondes sont les dunes dominant le parcours de golf, blonde est la plage où nous sommes tentés de rouler, dessinant des traces éphémères jusqu'à la prochaine marée, blonde la bière fraîche dégustée sur la terrasse du bar de la plage. Ainsi détendus, on ignorait qu'à quelques kilomètres à peine se jouait un drame: chacun sait que le marcheur aime le contact du sol sous ses semelles, ainsi bien campé sur ses jambes à la proue d'une des barques, notre ami André, tel un GI sur les plages de Normandie tente un débarquement, la traîtresse de barque se dérobe sous lui et s'est le plongeon. Aucun secours ne viendra des autres passagers se tenant les cotes au fond de l'esquif. André émergera enfin parmi les algues et la vase du cours d'eau, il n'a désormais qu'une hâte, cs'est de rentrer chez lui, et prendre un vrai bain avec parfum lui permettant de passer une belle soirée.

Et la soirée fut belle

« Sur la plage ensoleillée,

coquillages et crustacés"



Dimanche

Sur la zone de départ de la randonnée de Léon, 366 vététistes se pressent, la musique est à fond, à peine entrecoupée par le grésillement d'un drone nous mitraillant de photos. Enfin libérés c'est l'appel de la forêt. Une partie du lac de Léon est contournée par des pistes plates à peine sablonneuses puis très vite des mono-traces nous dirigent sur les premières hauteurs. Suite à un choc avec un morceau de métal à l'entrée d'une passerelle, un dérailleur est endommagé occasionnant un premier ralentissement. Le parcours maintenant exigeant éprouve les participants et le matériel, au bas d'une montée sévère la chaîne est rompue, la réparation laborieuse consomme un temps précieux. Pas encore découragée la troupe se bat jusqu'au dernier ravitaillement où une musique reggae nous remet le cœur à l'endroit. Nous jouons encore de mal chance dans les derniers kilomètres puisque un vélo refuse toute sollicitation de son pilote, la roue libre tournant dans le vide, des crampes se mêlent à la partie et c'est en mode poussette que l'on franchira la ligne d'arrivée dans les temps prévus. Malgré ces problèmes mécaniques on ne retiendra que la bonne ambiance et l’excellent accueil qui a régné pendant ces deux jours au village sous les pins 

 

SM

Publié le 08/05/2018 @ 16:46  Prévisualiser  Imprimer l'article
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