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Comptes rendus - Archives

Archives 06/2020

VTT - Dimanche 28 juin 2020 - par Semeac Evasion VTT

Dimanche 28 juin 2020

Huit dans la ouate d’Azun
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle le citadin normal s’enroule sous la couette. Tétiste limaquais, d’Arras à Aucun  dans la purée de pois, chemine en ton auto, attiré par les sommets, tout en haut le soleil brille ? Ah la vache ! au détour d’un virage un troupeau fait barrage, elle est où la route ?
C’est qui ces hombres déguisées dans la brume, cramponnées du pneu, sacs à dos  harnachées. Cui Cui, gallinacé mouline, coin coin Michel D son pédalier se coince. Mais Pierre A, le maître des lieux, cousin de Macgyver, répare au caillou humide la panne qui menace.
C’est comment quand y a pas de brume ? C’est par où qu’on va ?   ce sont des traces de chien ou de loup ? Noyés dans le doute nous progressons, cui cui, c’est trop bien, coin coin la panne qui menace, ah ! tiens voilà Cantau. Cabane perdue dans les nuages, pause et bla bla avec un groupe sympa de tétistes mixte qui vantent la fraîcheur de D.M. Et nous on rame ?
Après le Lac d’Arou noyé dans la brume direction le Soulor  et photo sur fond gris, puis retour par les bois et la piste perdus dans les nuages. Deux furtives éclaircies, hélas l’épaisse grisaille gagne la partie.
Trois heures de vélo, 1H30 de pique-nique, presque on ne se voit plus. Mais l’estomac rempli, roule ma poule vers la plaine, là-bas il fait si beau ?


mm


 


 

Publié le 28/06/2020 @ 19:57  Prévisualiser  Imprimer l'article

Lac du Barbat - par Montagne Semeac Evasion

           

                                       LE   LAC DU BARBAT, UN 18 JUIN

       « Oh merde, je me suis trompée ». C’est un peu en ces termes que débute notre journée programmée pour monter au lac du Barbat. C’est une communication téléphonique entre Thérèse et Annick sur le ‘’parking habituel‘’ où nous attendons patiemment Annick. Et Annick ne vient pas. Elle a simplement oublié que le départ était programmé pour 7 h 30 et  non 8 h. Néanmoins, son sac de montagnarde aguerrie étant prêt depuis la veille, nous lui donnons rendez-vous à Lourdes. Et c’est elle qui nous attendra au funiculaire.

        Tel le scénario habituel, dès notre arrivée à Lourdes, la valse des essuie-glaces débute. Leurs doux ronronnements vont nous accompagner jusqu’au lac d’Estaing. Chacun de leurs battements efface la pluie mais aussi nos espoirs de vivre une belle journée. Tout au long de la route, il pleut, au lac, il pleut encore. Bien au chaud dans nos véhicules, nous envisageons la suite : faire le tour du lac d’Estaing, redescendre ou attendre. Cette dernière solution est bien la meilleure. En quelques minutes, le voile du ciel se déchire, une belle et large plaque bleue éclaire soudain le paysage devenu moins gris. Moins gris aussi notre moral. C’est plus qu’il n’en faut pour chausser vivement  nos chaussures, endosser nos sacs et attaquer le raide et boueux  GR 10.  Aux abords d’Arrioussec, la pluie nous cueille à nouveau, vous savez, cette pluie qui nous fait sortir les ponchos du sac, ajuster péniblement les sursacs et qui cesse quelques minutes plus tard, toute heureuse de nous avoir joué un sale tour.

      Nous montons sur le GR10, sous un ciel tantôt laiteux, tantôt lumineux, jusqu’aux cabanes du Barbat. L’une, très jolie mais fermée, l’autre beaucoup moins accueillante mais ouverte nous offre son mobilier misérable. C’est l’image symbolique du riche  qui ne veut pas partager ses richesses et du miséreux qui offre le peu qu’il a. Sur trois mousses posées sur trois lits métalliques, nous mangeons confortablement à condition de ne pas trop écarter nos fessiers des bords de la ferraille.  Dehors, le temps au beau moyen, suffisamment beau pour nous faire recharger les sacs et reprendre le sentier jusqu’au lac du Barbat, but programmé par notre chef suprême. Il nous attire, c’est l’appel du 18 juin. Le temps se tient au beau moyen, plutôt moyen que beau mais enfin. Le paysage nous enchante, alors nous restons un long moment au bord de cette eau sauvage et rugueuse, propice aux farces des petits malins qui aiment arroser leurs petits camarades avec une eau si froide, aussi froide que la vengeance qui viendra un jour prochain.

   La descente s’opère par le même sentier, raide et glissant à souhait. A Arrioussec, jambes un peu lourdes, nous préférons la douceur et le confort de la large piste à la raide et glissante trace du GR. De retour aux voitures, toujours pas de pluie, ce qui nous autorise à déguster nos rafraîchissements bien au sec. Merci corona, nous sommes mieux ici que dans un bar soumis aux lois du confinement.

Belle journée qui mal débuta et bien se termina.

                                                                                    G H

Publié le 24/06/2020 @ 10:35  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT - Dimanche 21 juin 2020 - par Semeac Evasion VTT

Dimanche 21 juin



Paire et pères,

En ce premier jour de l'été il y avait 3 paires dont 5 pères, avec un peu de réflexion il vous sera facile de connaitre le nombre exact des participants. Nous partons vers Orleix et dans "la trouée d'Arenberg" toujours caillouteuse c'est aussi la fête des paires. Contrairement à d'habitude, au pied des collines de Dours nous virons à gauche vers Chis. Notre guide a décidé de partir à la découverte et c'est par un cheminement aisé que nous découvrons une multitude de petites routes et sentiers empruntant souvent "les sentiers de l'Adour" et traversant Sarniguet, Marsac, et Tostat, on peut admirer quelques belles bâtisses aux murs en cailloux de l'Adour. Nous traversons maintenant un grand bois, à sa sortie il faut franchir la route nationale et nous butons sur les collines de Lescurry. La terrible côte de La Canère nous permet d'arriver à Castéra-Lou sous la musique mélodieuse des dérailleurs (c'est aussi la fête de la musique). On ne quittera plus les crêtes jusqu’au dessus de Louit. Notre quota de kilomètres est bien rempli et la fin du périple se fera en douceur par Orleix et le bois d'Aureilhan.

                                                    SM

Publié le 22/06/2020 @ 22:34  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT - Dimanche 14 juin 2020 - par Semeac Evasion VTT

Dimanche 14 juin



Le golf de Bagnères,

Pour s'assurer de tout souci une réparation est effectuée avant le départ. Les 8 participants savent très bien que la sortie prévue ne permet pas la moindre bavure, aujourd'hui c'est le golf de Bagnères. Par l'avenue des chevreuils‌ à Barbazan nous débouchons derrière la chapelle de Piétat, nous voici sur les crêtes que nous ne quitterons pas avant Vielle-Adour. Par fantaisie nous descendons au village par la rue des Bousquets et nous rallions difficilement Montgaillard par un chemin herbeux. Il nous faut mainteneant remonter sur les crêtes et c'est par la longue ascension du Soum de Buala que l'on retrouvera le chemin des Artigaux filant plein sud vers nos Pyrénées. Un dernier "drive" nous permet d'arriver sur le "green" du trou n° 15, par "eagle" on avale le 14 mais le "handicap" se présente maintenant par la descente vers Ordizan, des marcheurs, des chiens, des ornières et des pierres glissantes compliquent l'opération. Le retour se fera en douceur quoique à bonne allure d'abord le long de l'Alaric jusqu'à Antist puis en suivant la vielle voie ferrée qui se termine toujours en sprint à l'entrée de Soues.

                                             SM

 

Publié le 15/06/2020 @ 16:44  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT - Dimanche 08 juin 2020 - par Semeac Evasion VTT

Lundi 8 juin




Repos sur la ptéridium aquilinum,


​Il avait eu bon nez l'organisateur de nos sorties car il est aussi prévisionniste météo. Jugeant rapidement que la pluie serait incessante dimanche matin il avait prestement envoyé un message‌ reportant la sortie à lundi. Bien lui en a pris car en plus de bénéficier du soleil nous saluons le retour du guide principal, celui-ci propose un circuit pas trop boueux, pas trop dur, pas trop compliqué mais assez long. Après avoir traversé Allier, nous empruntons la cote de la Serre pour dominer Bernac-Dessus, par la plaine cette fois on atteint facilement Vielle-Adour. Nous traversons la vielle route de Bagnères et la voie ferrée pour butter sur le chemin de Coumagnoles à Hiss. La montée est longue mais régulière, on prolongera jusqu'à Visker et le bois de Bénac où un repos est accordé, on se coucherait bien sur un tapis de jeunes fougères fraîchement écloses, vulgaires fougères pense t-on mais nous sommes vite remis sur les rails par l'organisateur qui précise : il s'agit de fougères aigle, plus facile à retenir que le nom scientifique, pteridium aquilinum de la famille bien connue des dennstaedtiaceae. La tête bourdonnante après cette courte leçon de choses nous avons hâte de reprendre nos vélos, là où il faut pédaler sans réfléchir pour rentrer à la maison en prenant garde toutefois de ne pas rouler sur une plante rare ce qui nous vaudrait une migraine supplémentaire. 


                                           SM

Publié le 09/06/2020 @ 18:54  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT - Dimanche 31 mai 2020 - par Semeac Evasion VTT

Dimanche 31 mai


Au taon en emporte le vent

Avec grand talent, le coach avait réuni juste 10 personnes‌ pour respecter les consignes en vigueur. Nul ne sait comment il procède pour éliminer le surplus. Quand au guide à qui nous avions confié notre destinée il ne montre pas trace non plus de complaisance puisqu'il nous embarque à froid sur le chemin des crêtes par une des voies les plus dure. La descente dans le bois du Rébisclou est assez acrobatique, il faut éviter les trous d'eau mais pour cela impossible d'échapper aux épineux mordant sur la piste. Le vernis en prend un coup, hélas il y a des épines aussi sur le sol et une crevaison nous retarde au niveau de l'Ousse. C'est l'occasion d'éliminer quelques vielles pompes qui ont fait leur temps. Sur les hauteurs de Laslades une boucle supplémentaire nous est proposée, c'est là que les taons et moustiques, sans doute exaspérés par le confinement passent à l'attaque, ils sont prêts à se repaître sans se soucier des distanciations sociales. L'ombre des bois et le passage de la "reinette" éloignent un instant les assaillants. On fait le compte des éraflures et pustules en rentrant sagement par le bois d'Aureilhan.
                           
                                                 SM

Publié le 01/06/2020 @ 13:23  Prévisualiser  Imprimer l'article
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