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VTT Evasion dimanche 24 avril - par Evasion VTT

Dimanche 24 avril

 

Quand les roues pètent,

 

En prenant la direction de la plaine vers Orleix, Dours et Lacassagne, les cinq cyclistes présents ce matin se sentaient des ailes surtout que la pente est plutôt favorable jusqu'à Rabastens. Les jambes tournaient bien, la mécanique répondait à nos efforts. Nous attaquons la côte de Mingot et en suivant, le chemin des crêtes qui nous emmène vers Sénac et Mansan, après une belle descente du côté de Peyrun, la roue arrière de Michel D nous intrigue beaucoup. Elle a pris la forme d'un chapeau de curé et plus inquiétant encore, à chaque tour de pédale elle émet le bruit d'une tronçonneuse mal réglée. La décision la plus sage est de rentrer par des chemins les plus carrossables possibles. Malgré cela nous sommes obligés de nous arrêter plusieurs fois pour resserrer quelques hypothétiques écrous récalcitrants. Une voiture de dépannage est appelée sur le parcours, elle sera au rendez-vous à Laslades et le pauvre Michel qui n'en pouvait  plus de traîner sa roue carrée ressemble à un papillon qui a pris un coup de béret.

A Laslades c'était les floralies, nous traversons l’événement dans l'anonymat le plus complet, Michel aurait bien mérité le bouquet du plus valeureux.

 

                                  SM

Publié le 25/04/2016 @ 18:29  Prévisualiser  Imprimer l'article

Plateau du Lisey - par Cauchy

Plateau du Lisey

 

Balade avancée en raison du temps mauvais

Nous étions cinq hardis randonneurs qui rêvaient

D’astre lumineux accompagnant le trajet

Malgré les gouttes qui le pare-brise mouillaient.

 

Au départ de la piste, on revêt le k-way

Sous l’œil vif d’un rouge gorge tout guilleret

Mais bien vite au détour d’un des nombreux lacets

Un chaud soleil explose dévoilant Cauterets.

De frêles pulmonaires se dressent désormais

Et les scilles fanées tapissent la futaie

Tandis que de rares névés déjà mollets

Rappellent l’avalanche et ses tristes effets.

 

Nous gagnons le bucolique plateau du Lisey

Où nous sommes accueillis par de copieux sifflets.

Sur la verte prairie, entre rochers et murets

D’insouciants marmottons s’ébattent sans arrêt

Sous l’œil bienveillant de leurs parents aux aguets

Pour notre émerveillement puéril à souhait.

 

Devant la simple cabane au charme désuet

La pause repas, un touret comme tabouret

Nous trinquons aux amis qui auront des regrets

De ne pas assister à ce spectacle, mais

Il est temps de descendre à travers la forêt

Au petit trot, pour muscler les fessiers, qui sait ?

 

Tout au long de la piste qui s’étire exprès

De blondes primevères exhibent leurs attraits,

Un fier Patou veille brebis et agnelets

Nous, nous squattons la terrasse d’un estaminet.

 

MCA avril 2016

Publié le 24/04/2016 @ 13:10  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT Evasion imanche 17 avril - par Evasion VTT

Dimanche 17 avril

 

Anclades

 

Encore une fois, la pluie nous accompagne dès la sortie du garage, très peu encourageant pour les quatre vététistes présents au départ. Nous partons pourtant le long de la voie ferrée jusqu'à Hiis, un soleil timide fait remonter la température et nos kaways sont vite tire-bouchonnés au fond de nos sac avant d'attaquer la longue montée vers les Puyolles que nous laisserons sur la gauche pour piquer vers Loucrup. Nous roulons maintenant sur le goudron vers Layrisse, juste avant les premières maisons du village nous virons à gauche sur une piste qui nous conduit en descente jusqu'à Orincle. De nouveau l'asphalte jusqu'à Arcizac ez Angles et Les Angles, un virage à droite et c'est l'entrée de la sauvage petite vallée d'Anclades, à travers les pâturages et le passage d'un mini col, Lourdes nous apparaît. Toujours par la route nous atteignons la cité mariale. A la sortie d'Adé nous reprenons des pistes dignes de notre sport qui nous amèneront vers Lanne, Louey, Juillan,et Odos. Au final une longue randonnée avoisinant les soixante kilomètres mi terre mi goudron.

 

                                SM

Publié le 18/04/2016 @ 18:24  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT Evasion dimanche 10 avril - par Evasion VTT

Dimanche 10 avril 2016

 

Vacherie de mécanique

 

En vue du challenge fixé pour le mois de Mai prochain, nous étions six ce matin bien décidés à allonger les circuits. Nous partons vers le sud empruntant mi route mi piste jusqu'à Vielle Adour, à partir de là, c'est la terrible montée vers les coteaux, à mi pente c'est  une panne sérieuse qui nous arrête : une chaîne se bloque entre la roue libre et les rayons. Impossible de débloquer la mécanique, c'est alors que la providence va nous sourire doublement. Un promeneur passant par- là n'étant autre qu'un ancien mécanicien ayant travaillé longtemps chez un marchand de cycle bien connu sur la place de Tarbes plongera ses mains sans retenue dans le cambouis, très vite il réclame une pince à débloquer le maillon rapide ?? par chance nous en avions glissé une le matin même dans un sac...

Après vingt minutes d'arrêt nous reprenons notre escapade à monter et descendre aux alentours de Barbazan Dessus et en deux coups de pédales nerveux nous nous retrouvons à la chapelle des amoureux à Lespouey, traversée du gué, au moins un pied dans l'eau et la violente grimpée jusqu'à Lhez, nous prolongeons sous la route nationale vers le plateau d'Oueilloux. A quelques mètres du sommet, une bergère pointant des arguments frappants arrive face à nous avec son troupeau galopant, c'est la première sortie de l'année pour les vaches, et le taureau qui les accompagne ne rêve que de les bourriquer dans l'herbe tendre, nous nous rangeons sagement sur le bord de la route avant de plonger vers le moulin de l'Arret Darré, à partir de là il faut remonter vers Mascaras, Angos et Piétat. Nous finissons par le pélerinage dominical de la côte de Barbazan mais cette fois en descente.

Au total nous enregistrons plus de cinquante kilomètres avec 945 m de montée totale.

                            SM

Publié le 11/04/2016 @ 12:27  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT Evasion dimanche 3 avril - par Evasion VTT

 

Dimanche 3 avril

Poey de Lescar,

 

Nous partîmes à sept;

mais par un prompt renfort nous nous vîmes vingt deux en arrivant au Poey.

Nous n'étions pas là pour bailler aux corneilles... et après un bon café le joli ruban multicolore aux couleurs de nos deux clubs se faufile le long du gave de Pau. Bientôt nous arrivons sur les premiers contreforts du Jurançonnais, une piste bétonnée nous hisse vers les sommets, les divers appareils de navigation sur nos vélos annoncent des pentes dépassant les 22%. Au moment du regroupement sur les crêtes nous sommes récompensés par la belle vue sur les Pyrénées béarnaises : la croupe arrondie du pic d'Anie et le domaine de la Pierre st Martin se laissent admirer. Nous ne sommes pas au bout de nos peines, les plus jeunes caracolent à l'avant," O rage! O désespoir! O vieillesse ennemie ! ..."

encore ces maudites corneilles sur nos têtes.

La réception après rando de nos hôtes est comme d'habitude excellente, nous ne sommes pas pressés de partir, les côtes de Jurançon servies sur nos tables sont plus faciles à descendre que celles que nous avons montées le matin.

Vivement l'année prochaine pour recevoir ce club dynamique et généreux de Poey de Lescar.

 

                                          SM

 

Publié le 05/04/2016 @ 22:46  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT évasion Pâques mais pas que - par Evasion VTT

Dimanche de Pâques, 27 mars

 

 

Les cerfs et le vilain,

 

Malgré le passage à l'heure d'été qui aurait pu provoquer des défections, nous étions quand même six à prendre la direction de la plaine, c'est à dire Orleix, Dours.

Nous poussons jusqu'à Castéra-Lou ou la montée vers l'antenne d'aide à la navigation aérienne a tendance à faire repartir nos vélos en arrière, à ce train-là nous craignons de perdre l'heure qui a été avancée cette nuit. Nous progressons par les magnifiques coteaux qui surplombent Louit et nous emmènent au-delà de Pouyastruc. L'idée nous prend d'emprunter une belle piste nouvelle pour nous, elle nous mène directement sur une ferme au lieudit " murailles " effectivement le site est férocement défendu par le propriétaire sans doute en mal de subventions européennes, ce pauvre paysan a du malencontreusement faire reculer sa pendule jusqu’au moyen âge car il cherche une fourche bien à sa main pour nous montrer qu'ici c'est bien lui le maître, même ses poules tentent de bloquer notre passage mais prise de panique l'une d'entre elles ravale l'œuf qui était programmé pour Pâques, les vagissements  du vilain nous font diagnostiquer les symptômes de la maladie de la vache folle, nous filons sans négocier. Arrivés dans la plaine la beauté et la dextérité d'une harde de cervidés nous réconcilie avec la campagne et ses habitants. Heure d'été ou pas dès que les aiguilles de la montre s'approchent de midi, nous avons tous faim et c'est par Souyeaux et Laslades et finalement par la palombière d'Antonio que nous rejoignons la civilisation.

                                    SM

Publié le 28/03/2016 @ 17:31  Prévisualiser  Imprimer l'article

Une balade au Barran - par Huberdeau

UNE BALADE AU PIC BARRAN

 

       Samedi, grand beau et dimanche incertain, la logique imposait de décaler la sortie du dimanche au samedi précédent. C’est ce que nous avons fait.

       Surprise agréable ou désagréable : au parking de la station, nous constatons qu’une abondante couche de neige recouvre la vallée d’Isaby ainsi que tous les sommets environnants. Notre belle et désirée Grande Estibère est trop blanche pour être abordable. Des hauts sommets voisins, de longues et noires coulées d’avalanches descendent jusqu’au lac. Pas question, dans ces conditions, d’aller vers ce traitre manteau pourtant si joli et si tentant. D’un commun accord, nous nous dirigeons vers les crêtes du Montaigu, tout aussi blanches mais moins piégeuses.

Dès le départ, la grosse bosse qui monte au faîte  de la station ôte rapidement les polaires de ceux qui jugeaient la température bien basse. Le port des raquettes s’impose dès la sortie des voitures et nous faisons à pied ce qui se réalise en voiture en été. Nous remercions au passage ceux qui ont tracé une confortable piste sur les flancs de la pente, une piste bien tassée et presque horizontale qui nous évite une torsion douloureuse des chevilles et une douleur au niveau des hanches fatiguées.

 Nous avançons ainsi de bosses en bosses, de traversées raides en petits cols reposants jusqu’à la longue crête qui descend du Montaigu trop lointain pour espérer toucher son cairn sommital. Peut-être, si nous avions été  sûr de le voir émerger de la couche neigeuse, aurions-nous tenté l’aventure……Hum hum

Plus sûrement, nous laissons le soin à Michelle de faire la bise au gros et magnifique cairn du pic BARRAN à 1982 m d’altitude. Le panorama est fantastique et ne peut se décrire. Tout au plus peut-on nommer les cimes environnantes et admirer le courage de quelques randonneurs skieurs qui bravent les dangers de notre Grande Estibère délaissée par prudence. JP ne cesse de surveiller avec admiration leur progression. Moi, personnellement, je les trouve très inconscients d’être en ces lieux à une heure aussi avancée.

Pascale, des fourmis dans les jambes et jugeant que la course est bien courte, décide de pousser l’aventure un peu plus loin sur la crête partiellement déneigée. A quatre, nous poursuivons donc vers le Montaigu de plus en plus proche. Nous nous arrêterons quand même prudemment au pic MONT à 2003m.

Le repas et la sieste réparatrice  s’éternisent un peu mais il fait si bon au soleil lorsque quelques nuages impolis laissent passer ses chauds rayons. Et puis, tout est si beau, si calme, quelle chance avons-nous d’être là, nous ne le dirons jamais assez. Nous suivons toujours la progression lente des skieurs d’en face qui semblent quand même renoncer au sommet convoité.

Un peu longue sera la descente par la même trace, surtout pour celle qui réalise aujourd’hui sa première sortie en raquettes version haute montagne et avec un équipement peu conforme. Nous serons tous heureux de nous asseoir au café de la station pour clore cette sortie maigre en dénivelé mais importante en distance.  

Nous étions 7 participants : Irène VJ, Michelle C, Pascale L, Françoise L, Jean Pierre E, Michel P et Gérard H.

                                                                                               G H

Publié le 27/03/2016 @ 13:02  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT évasion dimanche 20 mars - par Evasion VTT

Dimanche 20 mars

 

 

Ferdinand et Bertrand

« Ferdinand hisse-moi !

Que je vois la fusée volante,

Ferdinand hisse-moi !

Que je vois la fusée voler »

 

Ce matin nous sommes six au pas de tir.

Le décollage est poussif … il est vrai qu’après une nuit très courte suite à  l’excellent repas de printemps consommé la veille au soir dans une ambiance chaleureuse, la mise à feu  a tout l’air d’un pétard mouillé.

La  perspective d’aller chatouiller le diable, alors que la chaîne sous le soleil du matin offre enfin un visage hivernal,  contribue au succès de l’allumage et à la mise en orbite. Rapidement, nous atteignons les chemins gras au sud d’Odos  et franchissons le pont/ passerelle  de Bénac.  Fini de rigoler, l’affaire est sérieuse … la côte qui conduit à Layrisse, c’est pas un dos d’âne.   Tandis qu’à  l’avant «  La machine »  crache ses dernières effluves d’eau de feu, à l’arrière,  pour atteindre le sommet,  c’est bien d’une triple dose que nous avons besoin. Enfin, le passage du diable est atteint après une descente rapide. Sortis du piège, la remontée à Visker ressemble à la balade du pendu. Michel D propose le coup de grâce ; il en bave d’avance ! et si c’était lui le diable ? Son cadeau du jour c’est un bon coup de cul qui s’achève en apothéose : devant nous, de la main, nous touchons  la montagne, mais du fond de la gorge remonte un  doux parfum  d’axoa (de thon).  Il est temps de rentrer !   Par une succession de descentes, de chemins creux, le franchissement d’une passerelle surprise, nous rejoignons Séméac.

C’EST PAS FINI !

La traversée de Tarbes, habituellement fastidieuse,  ne se fera pas aujourd’hui sans Histoire.

J’arrive  tout près de la statue Foch quand la Marseillaise (chantée) m’accueille.  Dix porteurs de drapeaux,  le Maire de Tarbes, la représentante de Mme la préfète et autres personnalités entonnent  la Marseillaise comme hier soir les évadés d’Evasion chantaient la liberté.

Je me pince ; c’est pas pour moi … il faut être mort pour mériter un tel hommage !

Ferdinand Foch, natif de Tarbes, mourut le 20 mars, année 1929.

Pour rentrer  au bercail, j’évite l’avenue de Bertrand. Mes sympathies vendéennes pourraient m’attirer les foudres du fantôme de notre député révolutionnaire à qui nous devons d’habiter dans le département des Hautes-Pyrénées.

mm

 

Publié le 22/03/2016 @ 21:41  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT évasion dimanche 13 mars - par Evasion VTT

 

Dimanche 13 Mars

 

La pêche,

Par ce dimanche d'ouverture nous sommes appâtés par une virée sur les Puyolles et c'est à six que nous nous présentons, dans le vif... du sujet : au pied de Bastoura. Mieux vaut mouliner pour gravir Visker et atteindre enfin les belles Puyolles et le carrefour de l'arbre, un petit casse croûte réparateur et on met les cannes vers la plaine. En repassant à Barbazan on ne peut éviter la sempiternelle grimpée sur les coteaux de Piétat. Les premiers arrivés font les barbeaux pendant que les derniers se ramassent à l'épuisette.

Il nous reste assez de temps pour faire un crochet par Angos et remonter par la grange des pendus mais il ne faut pas jeter le bouchon trop loin, il est temps de replier les gaules, d'ailleurs il y en a plein la bourriche.

 

                                      SM

 

 

Publié le 14/03/2016 @ 22:11  Prévisualiser  Imprimer l'article

LE CUQ CREMAIL - par M Cauchy

Les nouveaux conquérants

Comme dix montagnards de Tarbes ou Séméac,

Déjà frigorifiés,au sortir des autos

De Germs les intrépides, les raquettes sur le dos

Partaient à l'assaut, au chaud dans leurs anoraks

 

Ils allaient conquérir le blanc Cuq Crémail

Que la chaîne nous offre et ses crêtes neigeuses

Mais le vent un peu frais, et la brume laiteuse

Forçaient les randonneurs à garder les chandails.

 

Chaque pas s'enfonçant davantage dans la poudre

A chausser les raquettes il fallut se résoudre

enchantés de suivre les traces déjà faites.

 

Arrivés au sommet, essoufflés et fourbus

Ils regardaient monter sur la blanche moquette

Pascale et son Françis, leurs amis attendus.

M CA Mars 2016

Publié le 14/03/2016 @ 17:44  Prévisualiser  Imprimer l'article
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