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Comptes rendus - Archives

Archives 11/2017

VTT Evasion dimanche 26 novembre - par Evasion Vtt

Dimanche 26 novembre

Blanche neige et les sept nèmes

Week-end asiatique à Séméac Evasion. D’abord la fièvre (jaune ? ) pour notre adhérente et Maire, le rire (jaune ?) après le match de notre XV qui n’a pas été impérial, puis la pêche à la carpe koi (spécialité de « la machine »).

Quoi de plus naturel de retrouver au départ de dimanche des vététistes déguisés en nèmes. En effet, la fraîche température matinale oblige aux enroulements en tout genre : Pour l’une ce sont des gants tout neufs, pour l’autre un bonnet ou un col roulé et pour tout le monde des collants longs et autres vêtements chauds car les Pyrénées toutes proches, blanchies de la première poudre hivernale ventilent de l’air presque froid.

Le circuit du jour aura pour cadre la plaine sud d’Odos. Labyrinthe de chemins, pistes ou monotraces qui nous conduiront par une longue côte, grasse à souhaits, sur la crête qui domine la plaine. Rapide descente et retour par le plat pays.

Enrobés au départ nous rentrerons presque dépoitraillés car au fil du réchauffement ambiant l’empire des sens reprenait le dessus.

Partis sept nains nous revinrent sept samouraïs, sans pourtant avec l’envie de se faire hara-kiri.

mm

Publié le 27/11/2017 @ 20:27  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTTevasion dimanche19novembre - par Evasion Vtt

Dimanche 19 novembre

Apparitions

Une bonne fraîcheur accueille 10 vététistes. Mais le soleil a promis de nous accompagner.

Partis un tantinet engourdis nous attendons avec impatience la montée d’Hibarette pour réchauffer les circuits. Mais très vite, une durite du vélo de Gene a gelé et elle doit s’en retourner au chaud. C’était la première apparition.

A neuf et réchauffés nous gagnons sans molir le « col d’Adé ». La descente vers Adé et voici les concurrents du Lourdes Tarbes pédestre quand soudain une deuxième apparition nous distrait du spectacle. Une vététiste bien connue mouline grave des bras et nous hèle « salut séméac evasion !!!»

A vrai dire, bien que tout proche de Lourdes, l’envie de nous y rendre afin d’assister à une troisième apparition ne fit pas long feu. A Toulicou, nous passons la barrière et sur quelques centaines de mètres le bois d’Ossun nous propose un superbe single.

Puis vint l’enchaînement des villages traversés : Ossun, Azereix, Juillan. Les points de vue sur la chaîne un peu enneigée sont  un spectacle toujours apprécié mais on n’est pas là pour faire des photos et quitte à choisir un Hamilton ce sera celui du pilotage. Déjà nous arrivons au pied de la passerelle du lotissement Bellevue.  Un arrêt confort de l’un d’entre nous prendra autant de temps que la réparation d’une crevaison. Il est vrai que par ce temps encore bien frais, le verseur peut être insaisissable par les doigts engourdis. Encore heureux car la phase regonflage est opportunément évitée.

Alors que les kilomètres s’accumulent (les compteurs commencent à saturer) nous empruntons les chemins du sud d’Odos qui, en parfait état, nous conduisent vers l’hippodrome de Laloubère. Enfin, après 60 kilomètres de promenade la Mairie de Séméac est atteinte à 12H pétantes par des vététistes pétaradants.

mm

Dimanche prochain, 26 novembre, le départ  passera à 9H pour quelques mois.

 

 

Publié le 20/11/2017 @ 22:43  Prévisualiser  Imprimer l'article

Au Plagnot de Soubirou - par Evasion

                                 AU PLAGNOT DE SOUBIROU

 

 

 Dire que le vin a coulé à flots au Plagnot de Soubirou, ce serait un peu fort mais enfin…. 9 heures au Peyre Picade ce matin sur la route du Camoudiet, nous sommes 14 à nous extraire du confort de nos carrosses pour    vivre une journée ‘’Montagnol’’. Temps superbe à faire hurler les gens du Nord qui m’ont dit hier qu’ils ne quittaient pas leur cher brouillard. Montée très cool dans une neige dure à peine existante. La belle promesse d’un enneigement précoce de la semaine dernière s’est déjà volatilisée. Elle est tellement facile cette montée que nous arrivons très vite au sommet du Plagnot de Soubirou, presque trop tôt. Un tour d’horizon et une recherche hasardeuse du nom de quelques noms de sommets nous amènent à notre ricard traditionnel. C’est le moment que choisit notre ami Roger pour déclarer sa flamme à nos ‘’scorpions’’. Comprenez là que les scorpions sont nos quatre amies Eveline, Jacqueline, Michelle et Nadine, toutes nées sous l’honorable signe zodiacal du Scorpion, à quelques jours ou semaines d’intervalle. Hélas Nadine, clouée au lit par une gastro, n’est pas là physiquement mais nous pensons si fort à elle que nous croyons voir se dessiner sa silhouette dans la neige. Le coquin, il avait eu vent de cet évènement et préparé son coup. Il sortit alors de son sac quatre magnifiques roses qu’il offrit  à nos amies, gardant précieusement celle de Nadine.

          Les bouteilles sortent instantanément des sacs de ces dames et pas du ricard trop banal, mais du champagne, le tout accompagné du fromage de Jacqueline et des gâteaux à ne plus savoir qu’en faire. Le frigo ne fut pas nécessaire vu la température de la neige. Longtemps, nous sommes restés là,  à l’abri succinct de quelques rochers malgré un vent frisquet.

     Et c’est à ce moment qu’une phrase a été lâchée, phrase inhabituelle, impensable, entendue pour la première fois dans nos sorties :

           ‘’ Nous allons décrire une boucle pour allonger la course.’’  

        C’est ainsi que nous débutons la descente par une petite remontée, puis une marche à flanc, pour rejoindre les cabanes de la Hosse. Nous nous reposons au seuil de ces cabanes, en exécutant, nous les mâles, un magnifique HAKA devant les femmes terrorisées ( hum !!!). Encore quelques minutes et nous rejoignons nos carrosses. Ensuite, le plus difficile fut de trouver un bar ouvert. Belle journée.

PS 1 : vous, hors du groupe montagne et montagnol, qui lirez ce compte rendu, rejoignez-nous, c’est presque la même ambiance tous les quinze jours.

PS 2 : Et pendant ce temps-là, un pirate prenait possession de ma messagerie et jetait la confusion parmi mes amies et amis. Rassurez-vous, je ne suis ni malade ni nécessiteux.

                                                                                                G H

Publié le 20/11/2017 @ 15:24  Prévisualiser  Imprimer l'article

Pointe de Surgatte - par Evasion

                                              LA POINTE DE SURGATTE

 

   C’est un col du Soulor presque désert que nous découvrons aujourd’hui vers 9 heures. Les cyclistes partis ce matin à l’assaut de ses pentes ne sont pas encore arrivés. Un brouillard intense nous cache le paysage si beau par grand soleil. Un véhicule ronfle sur le parking, c’est le pinceau à moteur des gens de l’ex DDE. Ils vont peindre le nouveau bitume de la route Soulor Aubisque. Vous connaissez la chanson de je ne sais plus qui ?

«  Je suis le peintre des montagnes,

   C’est moi qui ai  peint le Soulor

   Avec du blanc d’Espagne

   Sur la route, je trace les bords » etc. etc.

   Ils partent en même temps que nous, eux vers l’Aubisque avec leur pinceau à moteur et nous vers la pointe de Surgatte avec nos sacs et dedans, notre espoir de voir le soleil plus haut. Nous sommes 7 au départ. Michelle et Christian C, Danièle B., Anne L., Sylvie (je ne connais pas encore son nom),  Roger D. et moi-même. Eh oui, nous avons dans nos rangs une nouvelle recrue : Sylvie. Nous avions déjà des problèmes d’identification avec les Michel et Michelle, avec les Martine, nous en aurons maintenant  avec les Sylvie. Ils manquaient d’imagination les parents d’autrefois.

      Une large et confortable piste nous dépose au col de Saucède mais ensuite, dans la brume épaisse, rien ne ressemble  mieux à un bon chemin qu’un mauvais sentier. Nous allons marcher un peu à l’aventure avec, pour seule certitude,  les 500 MO de Mimi. Mais il semblerait aujourd’hui que des microcoupures apparaissent dans cette mémoire au demeurant fort développée. Le haut des Gabizo apparaît soudain dans une éphémère échancrure de la brume sur notre droite. Ce qui a pour effet immédiat d’abord de nous situer géographiquement et ensuite de croire que, là-haut, règne le grand beau. Roger, qui vient d’acquérir un magnifique programme city trail, a enfin maitrisé ce logiciel et nous confirme que nous sommes sur la bonne route. Dommage qu’il n’ait pas téléchargé toutes les cartes utiles. Il apprendra vite.

     Un cirque apparaît devant nous. ‘’ C’est le bon’’ nous dit Mimi. Hélas non, pas encore le bon. Je monte sur une bosse herbeuse et, oh surprise ! j’aperçois peu loin, les deux sommets caractéristiques de la pointe de Surgatte émergeant à peine de la mer de nuages. Nous sommes dans la bonne direction et, en quelques pas, nous foulons enfin l’herbe de notre sommet convoité. Notre récompense est un soleil magnifique éclairant une mer de nuages d’où émergent quelques pics et massifs tels des iles dans un océan blanc. C’est une splendeur qui efface bien des douleurs et des fatigues.

    Quelques photos, un petit repas rapide et nous voilà  plongés dans les douceurs d’une bonne sieste, dans les bras de Morphée pour certains, tout en admirant les efforts surhumains que fait un berger descendant une brebis blessée sur son dos. Mais que veut donc  cet autre berger, beaucoup plus haut sur la crête, qui ne cesse de crier, de s’arrêter, voire de tomber.  Dans la crainte d’assister à un drame, nous remontons vers cet homme apparemment en difficulté. Je ne vous conte pas le plaisir que l’on éprouve à remonter une pente rude à vitesse rapide après un repas, si léger soit-il. Et tout cela pour s’entendre dire lorsque nous le rejoignons : ‘’  J’appelle mes moutons descendus trop bas’’ ». Enfin ce fut une bonne action de notre part et pas de remords pour nos consciences. Nous eûmes quand même droit à ses remerciements.

      Et pendant ce temps remontait le brouillard, lentement mais surement. Vite, c’est à nouveau la plongée dans la purée de pois et le retour au col du Soulor vers 15 h. La DDE arrive en même temps que nous. Leur journée a été courte mais il ne faut pas peindre après 15 H la peinture ne prendrait pas. RADIO SENTIER a deux nouvelles correspondantes, JP, tu es battu.

                                                                                                                                G  H

        PS Le city trail de Roger me semble aussi menteur que les autres. Il annonce un dénivelé bien supérieur à la réalité.

 

Publié le 20/11/2017 @ 15:15  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT evasion dimanche 12 novembre - par Evasion Vtt

dimanche 12 novembre

 

Cagaïre

 

Quatre poilus au départ quand arrive la madelon. Point de jupon mais un collant cycliste court.

Pas folle la guêpe ! l’été se prolonge en Bigorre. Après avoir libéré nos corps, impatients d’en découdre, de vêtements de pluie inutiles, nous mettons cap à l’Est par Piétat, Angos et Calavanté . Nous rejoignons le pied du viaduc de l’Arrête Darré. L’accès à la rivière toute proche  est barré par un champ de barbelés. Cet obstacle sera franchi sans chichi parfois le museau au ras des bouses, en rampant, car nous devons traverser un pacage d’un troupeau de cornues.

L’épreuve fut accomplie sans grincement de dents, avec bravoure, même. Puis vint l’épreuve où les mollets seront mis à contribution autant que le caractère, face à l’adversité de la pente. Mascaras est traversée par l’avenue des pommiers sans fleurs puis enfin nous atteignons le passage du corbillard qui, à Barbazan-dessus , encombré d’agressifs bouquets de ronces, teste une fois encore notre madelon.

Par un dernier effort nous atteignons Bernac Dessus et le chemin qui le long de la voie ferrée nous ramène à Séméac. Si madelon et les poilus achevèrent, sous le soleil et l’arc en ciel, un circuit de saison qui les rendit boueux ils n’en furent pas pour autant des cagaïres (emmerdeurs en gascon).

mm

 

Publié le 13/11/2017 @ 15:21  Prévisualiser  Imprimer l'article

VTT evasion dimanche 5 novembre - par Evasion Vtt

Dimanche 5  novembre

Pour cinq gouttes de pluie

Peu de monde ce matin au guichet. Certes les nombreux nuages menaçaient, la fraîcheur accompagnait une timide ondée. Vers le sud les montagnes invisibles incitent à partir vers le nord où le ciel est parcouru d’éclaircies lointaines. Le quintet mixte embraye dans le bois d’aureilhan puis d’Orleix. La traversée de la tranchée d’arenberg sans crevaison et sans chute nous conduit vers le pied de la côte de Lescurry. C’était la mise en bouche.

Les plats de résistance se succèdent ensuite par enchaînement de côtes et de descentes franchies sans dégâts sur l’axe Castéra-Lou,Louit, Pouyastruc, haut de Hourc. La longue et bien feuillue descente vers le gué de l’Ousse nous propulse au pied du château d’eau. La dernière descente par la croix du hussard nous ramène à Séméac où nous sommes accueillis par cinq gouttes de pluie.

Après trois heures de pédalage la bonne humeur ambiante a aisément résisté à un arrosage de jardin. C’était le dessert du jour et on en redemande.

mm

Publié le 09/11/2017 @ 19:19  Prévisualiser  Imprimer l'article
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